Das Untergässli 7 wurde 1983 total renoviert und unter den Kantonalen Denkmalschutz gestellt. Vom Kantonalen Archälogischen Dienst während zwei Monaten untersucht, aufgezeichnet und erfasst. Von 1646 bis 1982 wurde die Bausubstanz nicht gross verändert. Zustand vor dem Umbau 1982: Aus dem Baujournal von Theo Griner, Generalunternehmer. Im Hinterhof, waren im ersten Geschoss noch die alten Toiletten (Bumsklos) vorhanden, welche die Bewohner bis zuletzt benützten. An kalten oder nassen Tagen haben deshalb die Mieter wahrscheinlich oft ihr Geschäft auf dem Dachboden verrichtet, denn dieser musste als erstes gereinigt und desinfiziert werden.
Die Küchen hatten noch die alten Feuerstellen mit einem Rauchfang, in den Nischen standen Holzkochherde aus Eisen. Die Steinabwaschbecken unter den Fenstern gegen den Hinterhof, mit Zement- und Gussrohren nach aussen, an den Hinterhoffassaden abwärts in den Hof zu den Klos führend. Im Dachgeschoss mit dem Aufzuggiebel, war noch ein sehr alter Gleitaufzug, mit einem stehenden Spindel für das Seil, vorhanden. Dieser ist heute im Museum Neuhaus zu besichtigen, auf dem Dachboden der Wohnung Neuhaus. Eine Schenkung der damaligen Bauherrschaft.
Auf den Bilder 2 und 3 ist ersichtlich, dass bis 1982 Fensterladen und ein Aufzug war. Die Fensterladen wurden entfernt und im 2. und 3. Stock wurden die alten Kreuzstöcke wieder erstellt.
Im Gewölbekeller war während Jahrzenten ein Gemüsehändler eingemietet und dementsprechend sehr feucht, noch mit einem Naturboden versehen. Im Erdgeschoss war ein Ladenraum, der als Wohnung diente. Der hintere Raum ohne Fenster, soll noch in den Vorkriegsjahren als Stall gedient haben. Das Treppenhaus wurde im originalen Zustand belassen. Es ist heute noch sehr eng und verwinkelt. Grosse Möbel müssen die Mieter heute über die Fassaden, mittels einem Aufzug in die Wohnungen hiefen. Der Archälogischen Dienst des Kanton Bern hat die Fassaden in ganzer Höhe gepinselt und Fugen- sowie Steinproben, zur annalisierung des Alters entnommen. Den handgebeilten Balkenlagen und den Holztäfelungen wurden ebenfalls Proben entnommen.
Die beiden Häuser Untergässli 5 und 7 wurden 1982-1983 hintereinander Umgebaut und saniert. Laut mündlichen Aussagen der damaligen Projektleiterin des Archäologischen Dienstes, war vor 1646, die ganze Häuserzeile einem Brand zum Opfer gefallen. Die Geschosszahl wurde beim Wiederaufbau um zwei bis drei Stockwerke erhöht, d.h. 1646 in den heutigen Zustand versetzt. Beim freilegen der handgebeilten Balkenlagen, wurden mehrere Exemplare bis zu 18 Meter lang gemessen. Diese sollen damals aus Polen, mit Pferdefuhrwerken nach Biel geliefert worden sein. Offenbar gab es nur in Polen so hohe Fichtenbäume.
Im Bieler Jahrbuch von 1987, Dr. Ingrid Ehrensperger Seite 77-79 ist folgendes abgebildet und erwähnt: Untergässli 7, Rekonstruktion der Erd- und Obergeschossgrundrisse von 1646 aufgrund der Balkenbehandlung/Aufnahmen. Bauuntersuchung und Pläne: Margareta Peters. Die Brandmauern und Fassadenteile eines ersten steinernen Hauses auf dieser Parzelle aus dem frühen 15.Jh. mit Fassadenänderungen der ersten hälfte des 16.Jh. sind nachgewiesen. Abb. 14, I-II. Im Jahre 1646 (Datum am Aufzuggiebel, links und rechts) ensteht unter Beibehaltung der unter I-II erwähnten Teile ein vollständiger Neubau mit Gewölbekeller. Dieser Bau wurde wahrscheinlich als Wohnhaus mit Werkstätten für einen Goldschmied errichtet, worauf die zahlreichen Kamine und das Ofengewölbe im Keller hinweisen. III, vgl. Abb. 14-16. Das Haus von 1646 hat vor allem im 19. bis 20.Jh. beim Umbau zum Miethaus zahlreiche innere Veränderungen erfahren und im Erdgeschoss strassenseits eine neue Ladenfassade erhalten. Abb. A, IV/VI. Bei der Sanierung 1983 ist das Dachgeschoss mit dem Aufzugsgiebel zu Wohnzwecken ausgebaut worden; gleichzeitig sind die Hofbauten (WC/Schopf) entfernt worden. VII.
Abb. 15: Ein Deckentäfer in der strassenseitigen Wohnstube des 1.Obergeschosses; aus Tannenholz mit Eichenprofilen von 1646, wurde 1983 sandgestrahlt, naturbehandelt und schmückt die heutige Decke.
Im Erdgeschoss befindet sich seit dem Umbau 1984 der Coiffeursalon Beatrice und im Gewölbekeller, ebenfalls seit Beginn, der Vereinskeller der Bieler Faschingszunft. Hier wird die Bieler Fasnacht seither organisiert und gepflegt.
La ruelle du Bas 7 a été totalement rénovée et fut classe monument historique. Etudiée, actée et répertoriée par le service cantonal archéologique. De 1646 à 1982 la substance du bâtiment n’a pas eu de grandes transformations. Etat avant la transformation de 1982 : Du suivi de construction de Theo Griner, entrepreneur général. Dans la cour intérieure se trouvait au 1er étage encore les vieilles toilettes (latrines), que les habitants utilisaient jusqu’alors. C’est pourquoi, lors de jours froid ou pluvieux les habitants faisaient certainement leur besoins dans les combles. C’est d’ailleurs le premier lieu que l’on a dû nettoyer et désinfecter. Les cuisines possédaient encore les anciens foyers avec hottes. Dans les niches se trouvaient les cuisinières à bois en métal. Les éviers en pierre sous les fenêtres contre la cour intérieure, avec les conduites d’évacuation en ciment et en fonte à travers la façade avec les descentes verticales qui menait à la cour direction les toilettes. Dans les combles avec le monte-charge pignon, il y avait un très ancien monte-charge à coulisse avec un axe vertical pour la corde. Celui-ci peut se visiter aujourd’hui au musée Neuhaus dans les combles de l’appartement Neuhaus. Un cadeau de l’ancien maître d’ouvrage.
Sur les photos 2 et 3 l’on voir que jusqu’en 1982 il y avait des volets et le monte-charge. Les volets ont été enlevé et au 2ème et 3ème étages tout les croisillons des fenêtres ont été reconstitué.
Dans la cave voûtée se trouvait pendant des années un marchand de légumes, la cave était en conséquence très humide et doté d’un sol naturel.
Au rez-de-chaussée se trouvait u magasin qui était utilisé en tant qu’appartement. La pièce arrière sans fenêtre devait fair office d’étable avnant les années de guerre. La cage d’escalier a été laissée à l’état original. Elle est encore aujourd’hui très étroite et tortueuse. Les locataires doivent monter les grands meubles à l’aide d’un ascenseur de déménagement par la façade. Le service archéologique du canton de Berne a passé au pinceau toute la façade et pris des échantillons de pierres et de joints pour analyser l’âge de la demeurre. Des échantillons des poutres taillées à la main et des boiseries ont également été prises. Les deux maisons, ruelle du Bas 5 et 7 ont été l’une après l’autre rénovées et assainies en 1982 et 1983. D’après les dires de l’ancien responsable de projet du service archéologique tout le pâté de maison a été victime d’un incendie avant 1646. Le nombre d’étage a été augmenté de deux ou trois étages lors de la reconstruction. Lors du dégagement des poutres taillées à la main, on a retrouvé plusieurs exemplaires de 18m. de long. Elles ont certainement été livrées de Pologne à l’aide de chariot tiré par des chevaux car à l’époque seul en Pologne on trouvait des épicéas de cette hauteur.
Dans l’annuaire de Bienne de 1987, Dr. Ingrid Ehrensberger Pages 77-79 sont évoqué les choses suivantes : Ruelle du Bas 7, reconstruction du rez-de-chaussée et des étages de 1646 en raison des traitements des poutres et des relevés. Examen de la construction des plans : Margareta Peters. Les murs coupe-feu et des parties de façade d’une première maison en pierre datant du début du 15ème siècle ont été décelé sur cette parcelle ainsi que des informations de façades datant du milieu du 16ème siècle. ill.14, I-II. Dans l’année 1646 (Date sur le pignon, gauche et droite) se construit un bâtiment neuf avec une cave vouûtée sous conservation ill. I-II. Ce bâtiment servit probalement de maison d’habitaion ainsi que d’atelier pour un orfévrier, les nombreuses cheminées et le four voûté le démontre. III, cf. ill. 14-16. La maison datant de 1646 a subi surtout au 19ème et 20ème siècle lors des transformations en maison de location d’importantes modifications intérieure ainsi qu’une nouvelle façade de boutique au rez-de-chaussée côté rue. ill. A IV/VI. Lors de l’assainissement de 1983, les combles avec le monte-charge pignon ont été transformé en appartement ; en même temps les latrines de la cour intérieure ont éliminée. VII.
Ill. 15 : La boiserie du plafond du côté de la rue dans le salon du 1er étage ; en sapin avec des profils en chêne de 1646, ont été sablé, traité naturellement et décore encore aujourd’hui le plafond. Au rez-de-chaussée se trouve de puis les transformations de 1984 le salon de coiffure Bea. Et dans la cave voûtée, également depuis 1984, la cave de la guilde du carnaval de Bienne. Là est organisé et entretenu le carnaval de Bienne.
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